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Quand les biais prennent le contrôle

  • Photo du rédacteur: Georges Gallien
    Georges Gallien
  • 5h
  • 2 min de lecture

Quand on vous raconte qui vous êtes… et que vous y croyez presque

Il y a des phrases qui glissent sous la peau

avant même qu’on ait eu le temps de les examiner.

Un mot posé par quelqu’un qui “sait”.

Un constat dit avec assurance.

Un diagnostic prononcé comme une vérité.


Portrait d’une femme caucasienne plongée dans une introspection silencieuse.

Et soudain…vous commencez à réorganiser votre histoire autour de cette voix.

Pas parce que c’est juste.

Parce que votre esprit est malléable.

Parce que l’autorité a un poids.

Parce que c’est humain.


Femme caucasienne dans une pièce calme, regard concentré, évoquant le poids de l’autorité.

Pourquoi maintenant ?


Parce que vous sentez, derrière l’inconfort, une fatigue ancienne :

celle d’avoir laissé trop de personnes interpréter votre intérieur à votre place.

Cette fois-ci, quelque chose en vous ne veut plus avaler sans vérifier.

Le moment n’est pas choisi : il arrive.

Il vous appelle.

Femme caucasienne reflétée dans plusieurs surfaces, symbolisant l’identité qui se recompose.

Qu’est-ce que vous choisissez réellement ?

Pas un diagnostic.

Pas une lutte contre les experts.

Vous choisissez de reprendre la main sur votre propre récit.

De ne plus laisser un mot étranger devenir une identité.

De vous accorder avant de vous expliquer.

C’est un acte de souveraineté, pas une rébellion.


Main d’une femme caucasienne posée près de sa poitrine, cherchant une résonance intérieure.

Comment ça se vit concrètement ?

Un espace calme.

Une respiration lente.

Un accompagnement qui ne plaque rien,

qui n’impose rien,

qui ne décide rien pour vous.


Femme caucasienne debout devant un seuil éclairé doucement, prête à franchir un passage.

Juste un endroit où vous revenez à vos perceptions,

sans bruit autour.

Un passage intérieur où vous pouvez sentir — vraiment —

ce qui résonne et ce qui ne vous appartient pas.


Une clé ancienne tournant doucement dans une serrure, évoquant un mécanisme intérieur

Comment comprendre les biais ?

Dans Gemme, ce travail se fait en douceur :

question après question, porte après porte,

jusqu’à retrouver votre axe sans l’ombre d’une influence extérieure. Comprendre que le biais vous a donné une direction. Mais que c'est vous qui avez le contrôle.


Femme caucasienne dans une pièce bleu nuit, posture droite, symbolisant la souveraineté intérieure.

Et si vous dites oui ?

Ce n'est pas un oui à moi.

C’est un oui à votre propre discernement.

Un oui à votre maturité intérieure.

Un oui à la clarté, au calme,à l’espace où l’on cesse de croire tout ce qu’on nous pose dans les mains.


Une clé ancienne posée sur une table grise, éclairée par une lumière douce.

Un oui qui ouvre une porte :

celle où vous redevenez l’auteur de votre propre vision.


Femme caucasienne baignée de lumière dorée, respirant avec apaisement.

Pont de Passage

Si vous sentez que c’est votre moment de reprendre votre axe,

entre ici : Gemmes ➡️ https://www.georgesgallien.fr/gemmes


Porte entrouverte laissant filtrer une lumière lavande-or.




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