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Souveraineté féminine— Le règne tranquille du féminin retrouvé

  • Photo du rédacteur: Georges Gallien
    Georges Gallien
  • 4 nov.
  • 2 min de lecture
“Le retour à soi n’est pas un combat. C’est un trône qu’on cesse de fuir.”
Une femme caucasienne, debout dans une lumière dorée d’aube, les yeux clos et les mains sur son cœur et son ventre, incarnant l’appel intérieur à se retrouver.

Le corps t’appelle à redevenir vivante.

Il y a un moment, dans le cycle de chaque femme, où l’attente devient lourde.

Tu sens la fatigue d’avoir trop donné, trop prouvé, trop contenu.

Les saisons intérieures changent : ce qui t’allait hier ne te nourrit plus.


Ce n’est pas un hasard si cet appel revient aujourd’hui.

Ton corps murmure : “Reviens. Respire. Règne.”

Il réclame non pas plus d’effort, mais plus de vérité.


Une femme caucasienne assise en tailleur sur un sol ancien, entourée de fils dorés formant un cercle, symbolisant la reprise de son axe intérieur.

Reprendre ton axe sans te justifier. L'axe de la souveraineté féminine

La souveraineté n’est pas un pouvoir sur les autres,

c’est la fin du marchandage intérieur.

C’est choisir d’être pleine, même quand rien ne vient te combler.


Tu choisis de ne plus attendre la validation d’un regard.

Tu choisis d’habiter ton bassin comme un sanctuaire, pas comme un champ de bataille.

Tu choisis d’aimer sans t’oublier, de parler sans plaire, de créer sans te perdre.


Chaque “oui” à toi-même devient une couronne invisible.


Une femme caucasienne allongée sur un tissu blanc, entourée de gemmes et de clés lumineuses, une lumière dorée montant du bassin à la gorge, illustrant l’union du corps, de l’énergie et de la psyché.

Par un retour au corps, à l’énergie, à la psyché et à l’archétype.

Ce chemin ne se pense pas, il se traverse.

Il commence souvent dans la chair — par la respiration, le mouvement, le contact conscient.

Puis il descend dans le bassin, lieu de transformation :

là où le désir n’est plus tension, mais courant de vie.


Il se poursuit dans le cœur :

là où tu cesses de donner pour être aimée,et où tu t’autorises à recevoir sans dette.


Enfin, il s’ancre dans l’archétype :

la Souveraine — celle qui s’offre sans se vendre,qui crée sans se dissoudre,

qui se tient droite dans la douceur.


C’est ce passage que j’accompagne dans le parcours Gemmes :

sept rencontres où chaque porte intérieure s’ouvre, une à une,

jusqu’à ce que ton énergie, ta parole et ton corps se remettent en accord.


Une femme caucasienne en robe blanche, debout dans une lumière dorée, les bras ouverts et le sourire paisible, incarnant la paix et la souveraineté retrouvée.

Tu cesses de survivre. Tu rayonnes.

Dire oui, ce n’est pas t’ajouter un objectif.

C’est te retirer du vacarme.

C’est retrouver le silence où ton autorité naturelle se réveille.


Alors, tu n’as plus besoin de convaincre, ni de lutter.

Tu inspires.

Tu deviens ce point d’équilibre où le monde s’apaise autour de toi.


C’est là que naît la vraie souveraineté :

silencieuse, stable, et pourtant présente partout.


La Souveraine n’a plus besoin de couronne.

Son royaume, c’est sa présence.

Et son pouvoir, c’est la paix qu’elle fait naître.


✨ Si tu sens que c’est ton moment, entre ici :


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