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Les 4 Visages du Féminin en Guérison
Quatre archétypes pour renaître à soi : la Prostituée blessée, la Séductrice, la Prêtresse et la Souveraine.
Chacune est un passage du manque vers la paix, du corps vers la conscience.
Ici, le féminin retrouve son axe et apprend à ne plus négocier sa lumière.

Georges Gallien
2 nov.4 min de lecture


“Tu veux tellement bien faire”
Quand le monde te demande de t’ajuster, tu crois devoir te corriger. Tu veux que tout soit juste. Pas parfait. Juste. Mais les autres entendent autre chose : contrôle , exigence , besoin d’avoir raison . Ils ne voient pas la délicatesse derrière tes gestes. Ils ne perçoivent pas l’amour dans ton effort de comprendre, d’harmoniser, d’anticiper. Alors tu fais plus. Tu t’appliques encore. Et plus tu veux bien faire, plus tu t’éloignes de toi. Ce trop de justesse devient tension

Georges Gallien
22 oct.3 min de lecture


La Colère Refoulée
La colère que l’on retient devient une braise intérieure. Elle reste là, silencieuse, mais brûle en continu. Ne pas l’exprimer, c’est croire qu’on l’éteint… alors qu’en réalité, on l’enfouit.

Georges Gallien
15 sept.2 min de lecture


La Fatigue Mentale
« La fatigue mentale se vit comme un brouillard intérieur : épuisante quand l’esprit tourne en boucle, apaisée quand il retrouve des espaces de silence. Elle se voit aussi à l’extérieur : irritable dans nos gestes et nos relations, ou présente quand on parvient à rester attentif et disponible. »

Georges Gallien
14 sept.2 min de lecture


🌑 La Dépression persistante
« La dépression persistante est un brouillard intime qui s’installe sans prévenir. Pas de cris, pas d’explosions, juste une lassitude qui s’infiltre et reste. À l’extérieur, elle se manifeste par une fatigue constante et un ralentissement du quotidien. À l’intérieur, c’est une bataille invisible entre une flamme éteinte et une résistance silencieuse. »

Georges Gallien
14 sept.2 min de lecture


Quand l’amour n’autorise pas les émotions – ou le paradoxe du cœur stoïque
Et si aimer, c’était traverser la vague sans s’y perdre ? Quand la peur d’être submergé pousse à contrôler chaque émotion, on s’empêche parfois de vibrer. Ce texte invite à explorer l’art d’aimer sans s’effacer, là où la sensibilité devient force.

Georges Gallien
28 juin2 min de lecture
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