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Tu es anxieux parce que tu n’agis pas.

Dernière mise à jour : 30 mai

Tu ressens de l’anxiété ? Et si c’était ton corps qui réclamait l’action que tu refuses ? Découvre pourquoi bouger change tout, même imparfaitement.

Ce n’est pas dans ta tête. Ce n’est pas une maladie. Ce n’est pas irrationnel.

Ce que tu ressens, cette boule au ventre, cette pression sourde, ce battement incontrôlable,c’est ton corps qui crie ce que tu n’oses pas encore faire. Ce n’est pas de l’anxiété. C’est une inertie trop longue. Un appel au mouvement… ignoré trop longtemps.


La vérité que tu ne veux pas entendre :

Tu sais déjà. Tu sais ce qu’il faut faire. Tu sais ce que tu évites. Tu sais ce que tu dois dire, changer, lancer, arrêter.

Mais tu repousses. Tu attends que ça passe tout seul. Tu espères un miracle sans mouvement.

Et pendant ce temps, ton corps s’agite.


L'anxiété, c'est de l'action refoulée.

Ce n’est pas une faiblesse. C’est une énergie bloquée.

Ton corps est prêt. Ton système nerveux se tend. Tes muscles veulent bondir. Ta respiration s’accélère. Mais toi… tu restes immobile.

Et c’est ce décalage entre savoir et agir qui te ronge. Pas le monde extérieur. Pas un danger. Toi. Et ce que tu refuses encore d’initier.


Tu n’as pas besoin d’être prêt.

Ce n’est pas la perfection qui calme. C’est l’engagement. C’est le premier pas. Même bancal. Même brouillon. Même dans le flou.

Tu avances → l’anxiété recule. Tu bouges → la pression diminue. Tu agis → ton corps retrouve un cap.


Première clé :

Bouger, même mal, c’est souvent mieux que ne rien faire.

Pas pour fuir.Mais pour revenir à toi. Pour sortir de l’enfermement intérieur. Pour remettre du mouvement dans le vivant.

Le corps sait. Il ne ment jamais. Il attend juste que tu l’écoutes autrement.


Question finale :

👉 Que refuses-tu de faire… que ton corps te supplie d’initier ?



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