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À celles que l’aide a blessés.

  • Photo du rédacteur: Georges Gallien
    Georges Gallien
  • 16 oct.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 29 oct.

La quête d'un Équilibre Intérieur

Deux chaises dans une pièce lumineuse, l’une légèrement tournée, symbolisant la distance et la fragilité de la confiance.

Mesdames, il existe des blessures invisibles,

laissées non par la vie,

mais par ceux qui prétendaient aider.


Des mots trop sûrs.

Des gestes mal placés.

Des phrases automatiques, dites sans écouter.

Et derrière, des gens qui rentrent chez eux plus seuls qu’en arrivant.


L’aide n’est pas un pouvoir.

C’est une responsabilité.

Et quand elle oublie cette simple vérité,

elle fait des dégâts silencieux,

ceux qu’aucun diplôme ne répare.


Beaucoup s’en sont éloignés.

Ils explorent, cherchent, testent.

Cartes, massages, stages, retraites…

Tout apaise un peu, rien ne transforme vraiment.

Parce que le fond, lui, reste fermé.

Il attend qu’on le touche avec respect.

Mains posées calmement sur une table, lumière chaude, symbole d’humilité et de responsabilité.

Et permettez qu’un professionnel le dise ici, à voix haute : Certains d’entre nous ont, sans le vouloir, blessé.

Par maladresse, par excès de certitude, ou simplement par fatigue.

Il y a eu des mots trop rapides,

des présences incomplètes,

des silences mal tenus. Je ne parle pas à leur place.

Mais je parle avec lucidité.

Reconnaître cela, c’est déjà soigner.

Et cette humilité-là, dans notre métier, est — et restera — la première forme de soin.

Oui, certains parlent, publient, se montrent.

Moi aussi.

Parce qu’à un moment, il faut dire les choses clairement :

il existe une autre manière d’accompagner.

Professionnelle. Stable. Humaine.


Pas pour briller,

mais pour réhabiliter la confiance.

Pour qu’e vous puissiez revenir sans peur.

Et parfois, quand la confiance revient,

vous chercher un cadre solide pour ne plus se perdre.

Pas une méthode.

Un chemin. C’est pour cela que j’ai créé ces repères :

des passages, des étapes, des clés.

Non pas pour expliquer,

mais pour accompagner avec cohérence ce retour vers soi.

Vingt-huit clés.

Vingt-huit passages.

Pas des promesses : des étapes.

Chacune ouvre une pièce oubliée,

une mémoire, une ressource.

Et ensemble, elles permettent de redevenir entier.

Clé ancienne posée sur une pierre claire, lumière dorée douce évoquant la confiance retrouvée et le passage intérieur.

Pas d’ésotérisme.

Pas de posture.

Juste le vrai travail :

celui qu’on fait quand on est prêt à descendre à son rythme,

sans chercher à paraître,

sans devoir y croire.

Alors, au nom de ceux qui ont tout essayé,

et de ceux qui observent encore de loin,

je plaide pour une aide sobre, consciente et humble.


Une aide qui parle quand il faut comprendre,

et se tait quand tout est déjà là.

Comme un silence qui répare plus qu’un mot.


Pour celles et ceux qui veulent voir ce que change une écoute juste :

Georges, Équilibre Intérieur.


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