« La peur de la mort, c’est ce vertige intime devant l’inconnu. Elle se cache derrière l’hyper-contrôle, l’agitation ou l’évitement. Mais si on la relie au sens et à l’instant présent, elle peut devenir un rappel de savourer la vie plutôt qu’une menace. »
La peur de l’abandon se vit comme une brèche intime : « Si l’autre s’éloigne, je perds ma valeur. » Elle se voit dans les relations : hyper-vigilance, recherche de réassurance, comportements parfois perçus comme étouffants.