Tu cours partout. Les journées s’enchaînent, sans vrai repos. Ton agenda dicte ton rythme, et ton corps suit tant qu’il peut… jusqu’à ce qu’il dise stop. Tu as l’impression de ne plus maîtriser ton temps, de vivre en mode “survie”.
« Le surmenage professionnel s’installe quand ton esprit refuse d’écouter ton corps. Tu continues, même épuisé, croyant que ta valeur vient de ce que tu produis. À l’extérieur, ce sont tes postures, ta présence et tes relations qui en portent les traces : irritabilité, erreurs, absences. »