La colère que l’on retient devient une braise intérieure. Elle reste là, silencieuse, mais brûle en continu. Ne pas l’exprimer, c’est croire qu’on l’éteint… alors qu’en réalité, on l’enfouit.
« La fatigue mentale se vit comme un brouillard intérieur : épuisante quand l’esprit tourne en boucle, apaisée quand il retrouve des espaces de silence. Elle se voit aussi à l’extérieur : irritable dans nos gestes et nos relations, ou présente quand on parvient à rester attentif et disponible. »