Tu cours partout. Les journées s’enchaînent, sans vrai repos. Ton agenda dicte ton rythme, et ton corps suit tant qu’il peut… jusqu’à ce qu’il dise stop. Tu as l’impression de ne plus maîtriser ton temps, de vivre en mode “survie”.
« La perte de contrôle se vit comme une tempête intime : on voudrait tenir les rênes, mais plus on force, plus elles glissent entre les doigts. Et pourtant, quand on lâche juste ce qui nous écrase, on retrouve une respiration nouvelle, un ancrage, une fluidité. »