Un texte introspectif qui invite à ralentir sans culpabilité.
Il parle à celles et ceux qui courent sans s’arrêter, jusqu’à oublier de respirer.
Entre fatigue et besoin de sens, il ouvre un espace de calme :
et si trois secondes de silence pouvaient tout changer ?
L’article fait ressentir la course, la pause, puis la renaissance —
sans rien vendre, mais en laissant deviner que reprendre son souffle,
c’est déjà commencer à se retrouver.