top of page
Rechercher

🟡 Entre rêver d’une vie et vivre son rêve… j’ai choisi.

Rêver d’une vie — l’illusion du manque

Rêver, c’est vital. C’est là que tout commence. Mais c’est aussi là que beaucoup s’arrêtent.

On fantasme une autre version de soi, une autre vie, un ailleurs plus doux, plus intense, plus grand. On se nourrit de possibles, on collectionne les “si seulement…”, on s’enivre d’images parfaites. Mais tant que tu rêves d’une vie, tu restes spectateur de ta propre histoire.

La psychologie l’a montré :

  • Le rêve nourrit la motivation… mais s’il n’est pas suivi d’action, il peut entretenir l’insatisfaction et l’évitement (Morin et Latham, “The Motivational Benefits of Goal-Setting,” 2000).

  • Le “syndrome du rêveur” décrit par C.G. Jung évoque l’écart entre l’imagination fertile et l’incapacité d’incarner ce potentiel (“La structure de l’âme”, Jung, 1935).


Vivre son rêve — la rupture et l’engagement

Passer de “rêver d’une vie” à “vivre son rêve”,

c’est franchir la frontière de l’audace.

  • Ce n’est pas abandonner la sécurité,

  • Ce n’est pas tout changer d’un coup,

  • C’est OSER le premier geste concret.

Ceux qui vivent leur rêve ne sont pas différents :Ils ont juste accepté de passer de l’attente à l’engagement.

De la contemplation à la construction.

De l’excuse au choix.

“Les rêves ne deviennent réalité que lorsque tu t’engages à leur donner forme.”— Source inspirée : Napoleon Hill, “Think and Grow Rich” (1937), Angela Duckworth, “Grit” (2016).

Pourquoi la majorité reste au seuil

  • Peur de l’échec :“Et si je me trompe ?”

  • Peur du jugement :“Que vont-ils dire ?”

  • Peur de l’inconfort :“J’ai rêvé trop longtemps, c’est trop tard…”

La psychologie du changement (Prochaska & DiClemente, “Transtheoretical Model,” 1983) montre que l’étape la plus difficile n’est pas la planification… mais le passage à l’acte.

Beaucoup restent dans la “contemplation”, peu franchissent le pas.


Choisir, c’est cesser de rêver pour incarner

À un moment, tu dois choisir :

  • Continuer à imaginer ta vie idéale,

  • ou poser un acte, aussi imparfait soit-il.

Le passage du rêve à la réalité, c’est la naissance de ta singularité.

C’est là que tu deviens l’auteur de ton chemin, pas juste le lecteur d’un roman intérieur.

La neuropsychologie l’appuie :

  • L’action, même minuscule, enclenche un cercle vertueux de confiance, d’apprentissage, et de motivation (Bandura, “Self-Efficacy: The Exercise of Control”, 1997).


Entre rêver d’une vie et vivre son rêve…j’ai choisi d’incarner, pas d’attendre.

Parce qu’un rêve sans engagement n’est qu’un mirage.

Et que chaque pas, même maladroit, construit un chemin qu’aucun rêve n’égale.


À toi :

De quel côté de la frontière es-tu ce matin ?



Comments

bottom of page